ISO 9001 définit déjà les exigences de base pour les systèmes de gestion de la qualité. Cependant, l'ISO 13485 étend d'autres exigences telles que :
ISO 13485 définit quatre grands domaines de processus, dont chacun doit inclure un ou plusieurs processus. Cela peut se faire sous la forme d'instructions procédurales, par exemple.
Les domaines de processus de base sont :
La certification selon ISO 13485 est un projet complexe et comprend plusieurs sous-étapes importantes et l'implication de certificateurs.
Afin d'obtenir la certification, il est nécessaire de sélectionner un organisme notifié qui est agréé pour la certification selon la norme ISO 13485.
Par exemple, le DaKKs allemand publie les certificateurs agréés en Allemagne, où une distinction est également faite ici entre la certification de dispositifs médicaux et le diagnostic in vitro
Afin d'établir une gestion de la qualité, la création d'un manuel QM est une condition préalable.
Ici, il est conseillé de développer un système vraiment léger qui devrait maintenir une conformité continue et une maintenance simple.
En principe, le manuel QM est une documentation de tous les processus et activités.
Différents fournisseurs proposent ici des systèmes modulaires correspondants, qui minimisent considérablement l'effort nécessaire à leur création.
Si un SMQ selon ISO 9001 a déjà été établi, un SMQ selon ISO 13485 peut parfois s'appuyer dessus.
Cette exigence, qui semble naturelle, est parfois difficile à vivre dans la réalité et ne fonctionne que si tous les services et collaborateurs sont impliqués de manière appropriée.
Afin d'en vérifier la garantie, des audits sont réalisés pour vérifier la pratique réelle et pouvoir l'améliorer si nécessaire.
Lors de la demande d'audit, le fabricant doit travailler selon les règles établies.
Cette exigence, qui semble naturelle, est parfois difficile à vivre dans la réalité et ne fonctionne que si tous les services et collaborateurs sont impliqués de manière appropriée.
Afin d'en vérifier la garantie, des audits sont réalisés pour vérifier la pratique réelle et pouvoir l'améliorer si nécessaire.
Lors de la demande d'audit, le fabricant doit travailler selon les règles établies.
Si l'audit est réussi, le fabricant reçoit un certificat correspondant